Après quelques heures de formation avec un moniteur, les candidats aux différents permis de conduire se rendent rapidement compte que les règles de circulation évoluent en fonction de leur environnement de conduite. Parfois, les aménagements routiers sont si complexes qu’ils entraînent la mise en place de règles de conduite pouvant s’avérer effrayantes pour les novices. C’est le cas par exemple des nombreuses limitations de vitesse, des carrefours à l’indonésienne dans les grandes agglomérations, des bretelles d’insertion sur les autoroutes ou encore les nombreux ronds-points qui jonchent les routes nationales et départementales.
Les règles du code de la route dans les environnements spécifiques
La première version du Code de la route a vu le jour en France en 1921, mais en réalité la réglementation routière date de Napoléon 1er, c’est-à-dire de bien avant l’arrivée de l’automobile. Dans ces deux cas, l’objectif principal était d’instaurer des règles de conduite afin d’organiser au mieux les flux d’usagers, et ainsi éviter les accidents de la route. Avec l’arrivée de l’automobile, puis des autres véhicules terrestres à moteur, de nouvelles règles de conduite sont apparues. Cela a permis de réglementer puis de sécuriser les divers environnements de conduite qui se succèdent durant un même trajet.
{{cta-code}}
En agglomération
Déjà limitée à 50 km/heure, avec l’arrivée massive des zones de rencontre, la circulation en agglomération a été repensée afin permettre au plus grand nombre d’usagers de se partager l’espace routier. Pour y parvenir, les cyclistes disposent en plus des pistes cyclables réservées, de la possibilité de circuler à double sens dans certaines rues en sens uniques. Autre règle spécifique à la circulation en agglomération, il est obligatoire pour les conducteurs de laisser un espace latéral d’un mètre lorsqu’ils doublent un deux-roues, une trottinette ou encore un groupe d’enfants à pied.
Hors agglomération
Conduire en dehors des agglomérations comprend un grand nombre de spécificités. Première spécificité, sur l’autoroute la vitesse maximale autorisée est limitée à 130 km/heure, sauf par temps humide où elle est ramenée à 110 km/heure. Ensuite, l’accès aux voies de circulation se fait par l’intermédiaire de bretelles d’autoroute. Sur les portions d’autoroutes payantes, les usagers devront s’acquitter des droits de péage pour continuer leur trajet. Enfin, la bande d’arrêt d’urgences, qui permet aux conducteurs victimes d’une panne d’arrêter leur véhicule, n’est implantée que sur ce type de voie.
En cas de doute concernant l’environnement dans lequel ils sont amenés à évoluer, les conducteurs pourront se fier aux divers éléments de signalisation qu’ils croiseront durant leur trajet. Ceux-ci pourront aussi bien être implantés sur les voies qu’aux abords de la chaussée. Ils ont pour principale mission d’alerter ou d’informer les usagers. Lorsque les conditions de circulation sont particulièrement difficiles, il faudra redoubler de vigilance et faire preuve d’une once de bon sens pour correctement conduire en fonction de l’environnement.
{{cta-title-code}}
Le contenu dans cet article présente uniquement un caractère informatif et n’engage pas contractuellement Ornikar (à savoir les entités Marianne Formation SAS et Ornikar Assurances). Cette dernière décline toute responsabilité sur les décisions et conséquences qui pourraient en découler.
adaptée à votre profil de conducteur.
adaptée à votre profil de conducteur.