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Centenaire du permis de conduire

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Conductrice voiture ancienne

Le 31 décembre 2022, le permis de conduire fêtera son centenaire. L’occasion pour Ornikar de faire le point sur cent années de développement et d’innovations mises au service des automobilistes français comme européens.

Avant le permis de conduire : le certificat de capacité

Très rapidement durant les premières années de la commercialisation des automobiles en France, la question de mettre en place un examen délivrant un certificat destiné à prouver que les usagers sont aptes à conduire une voiture s’est posée. C'est le préfet  de Paris Louis Lépine qui, le 14 août 1893, rend obligatoire l’obtention du “certificat de capacité” pour conduire dans la capitale. Cette certification, remise par le service des Mines, est alors réservée aux candidats masculins âgés de plus de 21 ans. Les usagers doivent montrer qu’ils sont capables de démarrer leur véhicule, se diriger ou s’arrêter. De plus, les candidats doivent avoir quelques notions de dépannage. C’est à cette même période que le récépissé de déclaration, l’ancêtre de la carte grise, voit également le jour.

Le 10 mars 1899, le certificat de capacité est étendu à l’ensemble du pays. Le 27 mai 1921 est publié le premier Code de la route. L’un de ses décrets précise la réglementation routière, en apportant les premières distinctions entre les différentes classes de véhicules motorisés en fonction de leur poids, ainsi qu’en actant le retrait du certificat de capacité aux usagers de la route qui reçoivent deux contraventions.

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Le permis de conduire voit le jour le 31 décembre 1922

Le terme “permis de conduire” fait son apparition dans le Code de la route le 31 décembre 1922. L’examen est alors ouvert aux candidats âgés de 18 ans pour le permis auto, 16 ans pour les mobylettes. L’examen contrôle dorénavant les connaissances qu’ont les candidats des règles de circulation grâce à des épreuves réalisées sous la surveillance d’un expert. Le certificat remis suite à cet examen prend alors la couleur rose qui le caractérise ensuite pendant de nombreuses années.

Le permis de conduire durant l’entre-deux-guerres

En 1940, le volume de véhicules motorisés en circulation en France dépasse les 1 800 000, alors qu’il n’en comptait que 157 000 à peine 20 ans avant. Les motocyclettes voient à elles seules leur nombre être multiplié par 10 sur cette période. Les accidents de la route augmentent, et les gendarmes se voient imposer l’usage du sifflet pour arrêter les conducteurs responsables d’infractions au Code de la route.

Le 12 avril 1927, la suspension et l’annulation du permis de conduire sont mises en place et les candidats devaient, en 1930, réaliser un contrôle médical pour décrocher leur permis de conduire. Les premières incapacités de conduite voient alors le jour à cette occasion.

C’est à partir de 1932 que les différentes règles de priorité sont définies et en 1933 que les usagers de la route doivent “tenir la droite”.

Le permis de conduire après la Seconde Guerre Mondiale

Le nouveau Code de la route, publié en 1954, crée six catégories de permis de conduire et impose aux propriétaires de permis C et D de passer une visite médicale tous les 5 ans afin de renouveler leur autorisation de conduite.

Le diplôme d’enseignant de la conduite voit le jour en 1958 et les auto-écoles deviennent réglementées.

En avril 1963, le ministère des Travaux Publics et des Transports envisage de rendre le permis de conduire renouvelable automatiquement tous les 5 ans à condition que l’usager de la route ait un casier des contraventions vierge ou peu chargé, ou bien en repassant le permis de conduire dans le cas contraire. Ce projet ne verra jamais le jour mais prépare la mise en œuvre du permis à points.

En 1965, la lutte contre l'alcoolémie au volant se met en place avec le déploiement des premiers alcootests. Les premières limitations d’alcoolémie dans le sang voient le jour en 1970.Le 1er juillet 1973, le port de la ceinture de sécurité devient obligatoire à l’avant des voitures, ainsi que le port du casque pour tous les usagers circulant hors agglomération en motocyclette.

En 1980, le Conseil Européen instaure un permis de conduire communautaire. Ce sont les débuts du permis de conduire européen.

L’instauration du permis à points puis du permis de conduire harmonisé

La France publie, le 10 juillet 1989, loi n°89-469 qui institue le permis à points. L’année suivante, le Conseil européen met en place la reconnaissance mutuelle de tous les permis de conduire délivrés sur le sol européen.

Le permis à points voit le jour le 1er juillet 1992.Chaque usager de la route dispose alors d’un total de 12 points, qui se réduit lorsqu’il commet des infractions au Code de la route.

Le 1er mars 2004 voit apparaître les premiers permis de conduire probatoires en France. Il permet d’inciter les jeunes conducteurs à veiller à bien respecter le Code de la route pour qu’ils puissent obtenir l’ensemble des points sur leur permis de conduire.

En 2006, le Conseil européen prévoit la mise en place en 2013 d’un permis de conduire au format unique, reprenant celui d’une carte de crédit plastifiée, et harmonisé entre tous les États européens. Ce nouveau permis de conduire voit le jour le 19 janvier 2013. Grâce à lui, tous les Etats européens adoptent les mêmes catégories de véhicules motorisés et il n’est plus nécessaire de faire changer ses documents lors d’un déménagement d’un État européen vers un autre. A l’origine, ce nouveau permis de conduire comportait une puce électronique, qui permettait aux agents des forces de l’ordre d’accéder rapidement aux informations du conducteur par simple lecture de la puce placée au dos du permis de conduire sécurisé. La puce a été supprimée des permis de conduire à partir du 1er janvier 2015.

L’auto-école en ligne Ornikar voit le jour en janvier 2014 et obtient son agrément en mars 2016. À la fin de l’année 2022, Ornikar compte plus de 2 939 000 utilisateurs inscrits et plus de 1600 enseignants de la conduite partenaires dans toute la France.

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Le contenu dans cet article présente uniquement un caractère informatif et n’engage pas contractuellement Ornikar (à savoir les entités Marianne Formation SAS et Ornikar Assurances). Cette dernière décline toute responsabilité sur les décisions et conséquences qui pourraient en découler.
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