TL;DR:
- Un panneau à fond vert guide sur un itinéraire principal hors autoroute; bleu pour autoroute, blanc pour desserte locale.
- Un nombre dans un cercle rouge fixe la vitesse; aucun panneau vert ne donne de limitation.
- Un rond bleu peut imposer une vitesse minimale; suivez toujours la dernière limitation affichée dans un cercle rouge.
- Sur un panneau vert, un encart bleu Axx indique l’autoroute à rejoindre avant l’échangeur.
- Alcool: taux maximum 0,5 g/L (0,25 mg/L); 0,2 g/L en probatoire; attendez 15 minutes avant l’éthylotest.
Que signifie un panneau sur fond vert dans la signalisation routière ?
Qu’indiquent précisément les panneaux de direction sur fond vert ?
Sur le réseau français, un panneau de direction sur fond vert indique un itinéraire principal hors autoroute. Il vous guide vers des destinations majeures (grandes villes, zones d’activité, axes structurants) en privilégiant la continuité des grands trajets. Vous y lisez généralement le nom des localités importantes, les distances utiles et le numéro des routes empruntées, avec des cartouches de couleur qui aident à vous repérer rapidement (D en jaune, parfois N, et parfois un itinéraire européen “E” en vert). Ces panneaux se distinguent clairement des panneaux bleus, réservés à l’autoroute, et des panneaux blancs, utilisés pour les dessertes locales. Lorsque vous voyez un cartouche bleu de type Axx intégré à un panneau vert, cela signifie que l’itinéraire principal vous mène vers un accès autoroutier, sans que vous soyez encore engagé sur l’autoroute. Leur format, la taille des caractères et les flèches normalisées facilitent une lecture rapide à vitesse de circulation et réduisent le risque d’hésitation au moment de choisir votre direction.
Quelle différence entre fond vert et fond bleu sur la route ?
Sur la signalisation de direction, la couleur du fond indique le type de réseau. Un panneau sur fond bleu renvoie au réseau autoroutier : directions affichées sur l’autoroute, accès à une bretelle d’autoroute ou itinéraires qui empruntent une autoroute. À l’inverse, un fond vert signale les grands itinéraires hors autoroute, souvent des routes nationales ou des voies rapides non classées en autoroute, qui relient les principales agglomérations. Les deux codes peuvent coexister sur un même ensemble de panneaux : sur une route ordinaire, la direction vers l’autoroute est indiquée en bleu ; sur une autoroute, la sortie vers une grande ville par le réseau non autoroutier apparaît en vert. Retenez l’idée simple : bleu = autoroute, vert = axe principal sans autoroute. En pratique, suivez le bleu pour rejoindre rapidement le réseau autoroutier, et privilégiez le vert si vous souhaitez éviter l’autoroute ou les péages, tout en restant sur des axes structurants.
De quelle couleur sont les panneaux d’autoroute : bleu ou vert ?
En France, les panneaux de direction propres aux autoroutes sont à fond bleu, avec des inscriptions blanches, ce qui permet d’identifier immédiatement un itinéraire autoroutier. Le fond vert, lui, signale les grandes directions sur des axes hors autoroute, sur des routes nationales ou des voies rapides non concédées. Conséquence logique : sur une autoroute, vous pouvez croiser un panneau qui mêle les deux codes couleur : les destinations qui restent sur le réseau autoroutier s’affichent en bleu, celles qui vous font quitter l’autoroute basculent en vert. Aux abords d’un échangeur ou d’une sortie, le vert vous aide donc à anticiper un itinéraire hors autoroute. Attention aux différences internationales : dans certains pays européens, les autoroutes sont indiquées en vert, comme en Italie ou en Suisse, ce qui peut créer une confusion. À retenir : en France, autoroute en bleu, et vert pour les directions principales hors réseau autoroutier.
Que veut dire un panneau sur fond blanc comparé au vert ?
Un panneau de direction sur fond blanc signale une desserte locale: il oriente vers des destinations de proximité (centre‑ville, quartiers, communes voisines, zones d’activités, parkings) et les axes secondaires qui y mènent. À l’inverse, un fond vert identifie un itinéraire principal destiné au trafic de transit: grands axes de contournement, liaisons interurbaines, accès vers des villes majeures ou vers des itinéraires d’intérêt national/ européen. Autrement dit, la couleur ne change pas la règle de circulation, elle renseigne sur la “portée” de l’itinéraire: blanc pour les trajets du dernier kilomètre, vert pour les parcours longue distance et les axes structurants. Dans les deux cas, il s’agit d’une signalisation directionnelle et non d’une obligation: elle n’impose pas une vitesse ni une priorité particulières, elle vous aide à choisir l’itinéraire le plus adapté à votre destination. En pratique, suivre le vert facilite les déplacements rapides entre pôles, tandis que le blanc guide la phase finale de votre trajet.
Existe-t-il un panneau de vitesse « vert » dans le code ?
Vitesse indiquée en cercle rouge vs signal prétendument vert : que retenir ?
Un nombre inscrit dans un cercle rouge signifie une limitation de vitesse officielle. Vous devez la respecter et son non-respect est sanctionnable. À l’inverse, un « signal vert » associé à une vitesse n’existe pas dans le code de la route. Ce que vous voyez en vert relève généralement de l’information ou de l’orientation. Par exemple, les panneaux directionnels d’autoroute ont un fond vert, mais ils n’indiquent jamais une vitesse. Les radars pédagogiques peuvent aussi afficher votre vitesse en vert quand vous êtes dans la limite. C’est un rappel utile, pas une règle opposable. Pour éviter toute confusion, retenez la hiérarchie suivante. Le panneau rond à fond blanc cerclé de rouge fixe la vitesse maximale autorisée jusqu’à un panneau de fin de prescription ou une nouvelle limitation. Un panneau rond bleu avec un nombre indique, lui, une vitesse minimale obligatoire sur certains axes, ce n’est pas une vitesse maximale. Les affichages ou indications en vert, qu’ils soient sur des panneaux électroniques ou des applications GPS, ne modifient jamais la limitation donnée par le cercle rouge.
Le « panneau de vitesse sur fond vert » existe-t-il officiellement ?
Non, le Code de la route ne prévoit pas de « panneau de vitesse sur fond vert ». Les limitations officielles sont toujours indiquées par un panneau circulaire bordé de rouge sur fond blanc (B14), ou par des panneaux à message variable qui reproduisent ce symbole. Il existe aussi une « vitesse conseillée », signalée par un panneau carré à fond bleu (C27), qui n’est pas obligatoire. Les fonds verts que vous pouvez croiser sur la route relèvent de la signalisation directionnelle ou d’encarts d’information autoroutière : ils n’édictent pas une vitesse. Si vous apercevez un nombre sur fond vert sur un portique ou un écran d’information, considérez-le comme un repère contextuel et fiez-vous à la dernière limitation réglementaire affichée dans un anneau rouge. En cas de doute, respectez la règle générale de la voie sur laquelle vous circulez et surveillez les rappels de limitation après chaque bretelle, chantier ou changement de section.
Comparatif international : le vert ailleurs en Europe et ce que ça change à l’examen
Difficile de s’y retrouver quand, en France, le vert n’indique pas de limitation de vitesse, alors qu’ailleurs en Europe il s’affiche souvent sur la signalisation directionnelle des autoroutes ou des grands axes (Italie, Suisse, Autriche, Royaume‑Uni, etc.). Pour lever toute ambiguïté, nous vous proposons un tableau qui compare, pays par pays, l’usage du vert.
Un panneau vert peut-il entraîner une contravention s’il est mal interprété ?
Non, un panneau vert n’a pas de valeur réglementaire pour la vitesse. En France, les limitations opposables sont indiquées par des panneaux ronds à bordure rouge ou par un affichage à messages variables qui reprend ce visuel. Un panneau vert sert à guider ou informer. Si vous le confondez avec une limitation et que vous roulez au‑delà de la vitesse réellement en vigueur, vous pouvez être verbalisé. C’est l’infraction constatée qui compte, pas la couleur du panneau que vous avez cru lire.
Pour éviter l’erreur, fiez‑vous toujours au dernier panneau réglementaire rencontré et aux règles par défaut. 50 km/h en agglomération, 80 km/h sur la plupart des routes bidirectionnelles, 110 km/h sur les voies rapides séparées, 130 km/h sur autoroute quand les conditions le permettent. En cas de doute, gardez une marge et recherchez un rappel de vitesse ou un panneau de fin de prescription. C’est la meilleure façon d’éviter une contravention tout en restant en sécurité.
Quels itinéraires et destinations les panneaux verts indiquent-ils ?
Quels types de routes et d’itinéraires ces panneaux indiquent-ils ?
À fond vert, la signalisation directionnelle indique les itinéraires principaux du réseau hors autoroute. Ces panneaux vous orientent vers les axes les plus fluides et continus, comme les routes nationales, les voies express, les rocades et les contournements urbains. Ils privilégient le transit interurbain et les longues distances en reliant les grandes agglomérations et les nœuds d’échange importants, avec moins d’arrêts et d’intersections. Vous y trouvez souvent les numéros d’itinéraires de portée européenne, notés E, ainsi que des indications vers un échangeur pour rejoindre une autoroute. Le fond vert se distingue du fond blanc, utilisé pour la desserte locale, du marron réservé aux sites touristiques, et du jaune dédié aux déviations temporaires. En pratique, suivre un panneau vert revient à choisir la colonne vertébrale du réseau pour un trajet direct et efficace, adapté aux conducteurs en transit comme à celles et ceux qui veulent gagner du temps sur de longues distances.
Comment lire un symbole d’autoroute bleu intégré dans un panneau vert ?
Quand un pictogramme d’autoroute bleu ou un cartouche bleu « Axx » apparaît dans un panneau directionnel à fond vert, lisez-le comme une indication d’itinéraire vers une destination qui se rejoint en partie par autoroute. Le fond vert vous guide depuis le réseau non autoroutier vers une destination d’importance. L’encart bleu précise la section d’autoroute à prendre, avec son numéro et parfois la direction principale, par exemple « A6 Lyon ». Suivez la flèche du panneau vert jusqu’à la bretelle d’accès correspondante. Une fois engagé sur l’autoroute, la signalisation devient entièrement bleue, ce qui confirme que vous êtes sur le réseau autoroutier. Utilisez ce cartouche pour vérifier que vous rejoignez bien la bonne autoroute et anticipez les règles spécifiques qui s’appliqueront ensuite: vitesses maximales différentes, accès interdit aux usagers lents, et éventuel péage signalé le cas échéant. En pratique, repérez le numéro d’autoroute dans l’encart bleu, la direction associée, puis suivez la succession de flèches jusqu’à l’échangeur indiqué.
Quelles mentions en blanc repérer pour orienter le véhicule ?
Sur les panneaux verts, fiez-vous d’abord aux mentions en blanc qui guident votre orientation: noms de villes et de grands pôles, par exemple Lyon ou Bordeaux, mais aussi des indications génériques utiles comme « Toutes directions » pour rester sur l’axe principal, « Autres directions » pour les itinéraires secondaires, « Centre‑ville » pour rejoindre le cœur d’agglomération, ou « Périphérique », « Rocade » et « Contournement » pour éviter le trafic. Repérez ensuite les numéros d’axes présentés en cartouches: Axx pour une autoroute à rejoindre, Nxx pour une nationale, Dxx pour une départementale, Exx pour un itinéraire européen ; ils confirment que vous êtes sur le bon cap. La mention « par » ou « via » signale l’itinéraire recommandé par telle localité. Enfin, des mentions pratiques comme « Zone industrielle », « Gare », « Aéroport » ou « Hôpital » vous aident à cibler un secteur précis. En combinant destination écrite et numéro de route, vous anticipez vos changements de voie et choisissez la bonne sortie sans stress.
Couleurs et actions : rouge, bleu, blanc, vert, comment les différencier ?
À quoi sert le rouge en signalisation routière ?
En signalisation routière, le rouge vous transmet une consigne impérative : s’arrêter, ne pas franchir, respecter une limite. Au feu tricolore, le rouge impose l’arrêt absolu. Sur les panneaux, un disque cerclé de rouge indique une interdiction claire : sens interdit, interdiction de tourner, de dépasser ou de stationner. La limitation de vitesse se matérialise par un chiffre entouré de rouge. Le rouge marque aussi des priorités strictes : le panneau STOP, octogonal à fond rouge, vous oblige à marquer l’arrêt et à céder la priorité. Enfin, la bordure rouge des triangles de danger attire votre attention sur un risque à venir, comme un virage serré, une chaussée glissante ou un passage piéton, pour vous faire ralentir et adapter votre conduite. Dès que le rouge apparaît, considérez qu’il exprime une règle forte ou un danger proche : le respecter est essentiel pour votre sécurité et pour éviter une infraction.
À quoi sert le bleu en signalisation routière ?
En signalisation routière, le bleu sert à orienter et à encadrer la conduite sans alerter d’un danger. Sur les panneaux circulaires, un fond bleu avec pictogramme blanc indique une obligation: direction à suivre, vitesse minimale, usage d’une voie, d’un équipement ou d’un aménagement comme une piste cyclable ou un contournement d’obstacle. La fin de cette obligation est signalée par le même pictogramme barré. Sur les panneaux carrés ou rectangulaires, le bleu délivre des informations pratiques: emplacements de stationnement, services, voies réservées, indications propres aux autoroutes, où la signalisation directionnelle est bleue. Attention aux exceptions: un disque bleu cerclé de rouge avec une barre ou une croix rouges n’exprime pas une recommandation mais une interdiction de stationner, voire d’arrêter et de stationner. Pour interpréter correctement un panneau, appuyez-vous toujours sur la couleur, la forme et le pictogramme. Le bleu guide et organise la circulation, quand le rouge interdit et le jaune signale un caractère temporaire.
À quoi sert le blanc en signalisation routière ?
En signalisation routière, le blanc sert de repère « neutre » et permanent qui facilite la lecture des règles. C’est la couleur de fond de nombreux panneaux réglementaires et de danger: triangles d’alerte à bord rouge et disques d’interdiction (comme une limitation de vitesse) utilisent un fond blanc pour maximiser le contraste et la visibilité du pictogramme. Le blanc est aussi la base des panonceaux d’indication placés sous un panneau principal: ils précisent une distance, une catégorie de véhicules ou une plage horaire. Sur la signalisation directionnelle, un fond blanc oriente vers des destinations locales ou de proximité, à distinguer du bleu (autoroute) et du vert (grands itinéraires). Enfin, au sol, les marquages blancs matérialisent les règles permanentes (lignes de voie, passages piétons, cédez‑le‑passage), tandis que le jaune indique généralement un caractère temporaire lié à des travaux ou à un stationnement particulier. Retenez donc que le blanc signifie la règle « standard » et durable, lisible en toutes circonstances.
À quoi sert le vert en signalisation routière ?
En signalisation routière, le vert sert principalement aux panneaux de direction qui vous orientent sur les grands axes hors autoroute. Un fond vert indique des itinéraires principaux et interurbains, souvent liés aux routes nationales et aux itinéraires européens : vous verrez d’ailleurs les numéros “E” dans un cartouche vert, utile pour suivre un trajet longue distance. Le vert apparaît aussi aux feux tricolores : il autorise le passage si la voie est libre, mais ne donne jamais une priorité absolue. Vous devez encore céder le passage aux piétons engagés et respecter les règles de priorité. Pour ne pas vous tromper, retenez la logique des couleurs de direction : le bleu guide vers l’autoroute, le vert vers les grands itinéraires hors autoroute, le blanc vers des destinations locales ou de proximité. Ne confondez pas non plus le vert avec le jaune, réservé aux déviations temporaires. En pratique, suivre un panneau vert vers une grande ville vous aide à rester sur l’axe principal sans emprunter l’autoroute.
Panneaux verts, erreurs fréquentes et sécurité
Quelles erreurs le conducteur commet-il le plus souvent avec le fond vert ?
Beaucoup de conducteurs se fient d’abord à la couleur et confondent le fond vert avec l’entrée ou la continuité d’une autoroute, en adoptant à tort les vitesses et réflexes associés. Or, un panneau vert est avant tout directionnel : il guide vers le réseau principal hors autoroute et n’édicte aucune règle. L’erreur suivante consiste à ignorer les informations clés du panneau — numéro et type de route (A, N, D, E), pictogrammes, noms de villes, flèches et distances — ce qui mène à des changements de voie tardifs ou à des sorties manquées. Beaucoup lisent trop tard les cartouches et se rabattent au dernier moment, augmentant le risque de collision latérale. Enfin, certain·es pensent qu’un fond vert modifie la priorité ou la vitesse, alors que seules les prescriptions (interdictions et obligations) le peuvent. Pour éviter ces pièges, anticipez : repérez tôt le symbole de l’itinéraire, vérifiez le numéro de route et la direction, adaptez votre allure, et préparez votre placement 300 à 500 mètres avant la manœuvre.
Retours d’expérience d’élèves : pièges et bons réflexes
Sur le terrain, beaucoup d’élèves racontent s’être laissé guider par la couleur verte plutôt que par les flèches de voie, avoir confondu « Toutes directions » et « Autres directions », ou lu les indications trop tard et changé de voie à la dernière seconde.
Les panneaux verts améliorent-ils réellement la fluidité de la circulation ?
Les panneaux verts participent à la fluidité, non pas en “débloquant” le trafic, mais en rendant l’orientation plus rapide et plus sûre. Leur couleur signale immédiatement des axes majeurs hors autoroute et des directions vers les grandes agglomérations ou les contournements, ce qui vous aide à anticiper un itinéraire, choisir la bonne sortie et vous placer sur la bonne voie plus tôt. Cette anticipation limite les hésitations et les changements de file de dernière minute, souvent à l’origine de ralentissements en chaîne. En revanche, ils n’agissent pas sur la densité de circulation elle‑même. Pour en tirer pleinement profit, lisez-les en amont, repérez les flèches de voie, les distances et les numéros d’axe, puis confirmez avec votre système de navigation sans quitter la route des yeux. Évitez une erreur fréquente qui consiste à confondre la couleur avec une règle de priorité. Gardez vos distances, signalez vos intentions et renoncez si vous êtes trop tard pour une sortie. C’est cette combinaison qui améliore réellement la fluidité et la sécurité.
Révisions express pour le test du code sur la signalisation
Quels points essentiels prendre en compte pour ne pas se tromper ?
Pour éviter les pièges, partez toujours de la forme puis du pictogramme avant de regarder la couleur. Un panneau vert appartient à la signalisation directionnelle : il guide, il n’impose pas de règle de priorité, d’interdiction ou d’obligation. Utilisez ensuite la couleur pour comprendre le contexte de l’itinéraire visé: vert, bleu, blanc, marron ou jaune orientent vers des réseaux, des destinations locales, des sites touristiques ou des déviations temporaires. Lisez les mentions et cartouches: A, N, D ou E indiquent le type de route (A et N en cartouche rouge, D en fond jaune, E sur fond vert). Observez aussi les flèches, la distance et les éventuels panonceaux qui précisent la portée du message. En cas de doute, n’interprétez jamais une couleur comme une règle de conduite: seule la famille du panneau (rond, triangle, rectangle) et son symbole fixent ce que vous devez faire. En révision, entraînez-vous en trois temps: forme, symbole, couleur, puis validez par la lecture des textes et des numéros.
Où s’entraîner sur des questions de contenu orientées « panneaux » ?
Pour vous entraîner efficacement sur les panneaux de signalisation, privilégiez une révision ciblée et régulière. Sur Ornikar, vous pouvez sélectionner des séries thématiques dédiées aux « panneaux », classées par catégories (danger, interdiction, obligation, indication, direction) pour travailler précisément vos points faibles. Enchaînez des mini-séries de 10 à 20 questions pour mémoriser les formes, couleurs et panonceaux, puis passez en mode examen blanc afin de vérifier vos réflexes en situation. Chaque correction s’accompagne d’une explication claire et de rappels visuels, et vos statistiques mettent en évidence les types de panneaux à revoir en priorité. L’application mobile facilite les sessions express dans les transports, tandis que les fiches mémo synthétisent l’essentiel avant un test. Fixez-vous un objectif quotidien simple, comme deux séries « signalisation », et revenez systématiquement sur vos erreurs : la répétition espacée ancre durablement les bons réflexes et prépare efficacement au test du code.
Nouveaux panneaux et actualités sur fond vert
Pourquoi certains nouveaux panneaux verts font-ils débat ?
L’arrivée de nouveaux panneaux sur fond vert suscite des interrogations et, parfois, des critiques. Ce code couleur bouscule des repères bien ancrés et peut créer de la confusion avec la signalisation directionnelle déjà en place, alors que vous devez décoder un panneau en une fraction de seconde. La lisibilité pose aussi question : le vert se distingue moins dans un environnement végétalisé, et certains formats, pictogrammes ou niveaux de rétro‑réflectivité varient encore selon les collectivités en phase d’expérimentation. D’une ville à l’autre, vous pouvez rencontrer des usages différents pour des notions proches, qu’il s’agisse d’itinéraires alternatifs, de voies réservées ou de zones environnementales, ce qui nuit à l’homogénéité du code de la route. Enfin, l’acceptabilité entre en jeu : plusieurs de ces panneaux accompagnent des restrictions nouvelles, comme les voies de covoiturage ou les zones à faibles émissions, parfois associées à des contrôles automatisés. Ajoutés à un environnement déjà chargé, ils peuvent contribuer à la surcharge visuelle. Un cadrage national plus précis, des tests en conditions réelles et une information claire des conducteurs aideront à lever ces doutes.
Quels « petits nouveaux » pouvez-vous rencontrer prochainement sur la route ?
Dans les prochains mois, vous pourriez croiser plusieurs « petits nouveaux » intégrés à la signalisation directionnelle sur fond vert. Les plus visibles : des compléments de jalonnement vers les bornes de recharge pour véhicules électriques et les aires multi‑recharge, avec un pictogramme de prise pour vous guider sans détour. Le fléchage vers les aires de covoiturage et les parkings‑relais sera aussi davantage indiqué, pour vous aider à combiner voiture et transports en commun. Côté circulation, l’extension des voies réservées au covoiturage et aux bus s’accompagne d’une signalisation actualisée en amont des échangeurs, souvent reprise sur les panneaux verts pour vous laisser le temps de choisir l’itinéraire adapté. Enfin, les entrées et rappels de zones à faibles émissions mobilité se généralisent : vous verrez plus d’informations en approche des agglomérations pour savoir si votre vignette Crit’Air permet l’accès et, le cas échéant, comment contourner la zone par un itinéraire bis. L’objectif : vous donner des repères clairs et utiles, au bon moment.
Questions fréquentes
Que signifie un panneau de direction à fond vert ?
Un panneau de direction à fond vert guide vers un itinéraire principal hors autoroute. Il affiche grandes destinations, numéros de routes (A, N, D, E) et flèches. C’est informatif, pas prescriptif: il n’impose ni vitesse ni priorité.
Quelle différence entre panneaux verts et bleus ?
Bleu = réseau autoroutier (ou accès à l’autoroute). Vert = grands axes hors autoroute. Sur une route ordinaire, l’accès autoroute est indiqué en bleu; sur l’autoroute, les sorties vers le réseau non autoroutier apparaissent en vert.
Un « panneau de vitesse vert » existe‑t‑il en France ? Non. Aucune limitation officielle sur fond vert. Les vitesses sont indiquées par un disque blanc bordé de rouge (B14). Le carré bleu C27 donne une vitesse conseillée, non obligatoire. Un affichage « vert » (radar pédagogique, PMV) n’est pas opposable.
Comment lire un cartouche bleu Axx sur un panneau vert ?
Le cartouche ou pictogramme bleu « Axx » intégré à un panneau vert signale qu’une partie de l’itinéraire se fait par autoroute. Suivez la flèche jusqu’à la bretelle indiquée; une fois engagé, la signalisation devient entièrement bleue. Peut‑on être verbalisé après avoir mal interprété un panneau vert ?
Oui, si vous dépassez la limitation réelle. Seul le disque à bord rouge (ou son équivalent sur PMV) fait foi. Un nombre affiché en vert est informatif. En cas de doute, appliquez la dernière limitation rencontrée.
Quelles vitesses par défaut sans panneau ?
Par défaut, hors indications: 50 km/h en agglomération, 80 km/h sur routes bidirectionnelles, 110 km/h sur voies rapides séparées, 130 km/h sur autoroute (110 sous pluie). Adaptez aux conditions et aux rappels locaux.
Où s’entraîner efficacement sur les panneaux verts ?
Avec Ornikar, entraînez‑vous sur des séries thématiques « signalisation » et des examens blancs. Corrections illustrées, stats de progrès et révisions ciblées vous aident à maîtriser panneaux verts, couleurs et panonceaux, depuis l’appli ou le web.
Le contenu dans cet article présente uniquement un caractère informatif et n’engage pas contractuellement Ornikar (à savoir les entités Marianne Formation SAS et Ornikar Assurances). Cette dernière décline toute responsabilité sur les décisions et conséquences qui pourraient en découler.












