Une publication récente de l’ADEME liste les différents enjeux auxquels devront se confronter les véhicules électriques à l’avenir pour continuer de permettre la bonne progression de l’écomobilité.
Une batterie aux capacités réduites pour rester écoresponsable
D’après l’ADEME, une voiture électrique peut, au long de sa vie, rejeter entre deux et trois fois moins de carbone qu’une voiture thermique équivalente, à condition que la puissance de sa batterie soit inférieure à 60 kWh et que son autonomie soit relativement réduite, aux alentours de 400 km.
En effet, les batteries d’une puissance supérieure à 60 kWh, sont généralement installées sur des véhicules plus lourds et dont l’usage ne se restreint pas à des trajets du quotidien. Ainsi, l’ADEME indique que si la dette carbone d’une citadine électrique est remboursée dès que le véhicule parcours 15 000 km, ce sont pas moins de 100 000 km que les SUV électriques doivent parcourir avant de rembourser leur dette carbone.
Permettre à tous les usagers de la route d’acquérir une voiture électrique
Si le coût de revient des voitures électriques est d’ores-et-déjà plus intéressant que celui des voitures thermiques, avec un coût de recharge de 10 euros pour 300 km dans le cas de recharges à domicile, contre 30 euros pour un plein d’essence, les constructeurs doivent proposer des véhicules plus petits et moins lourds afin que les voitures électriques ne deviennent pas plus coûteuses que des voitures thermiques, ce qui réduirait la capacité des usagers de la route à réaliser rapidement la transition vers la mobilité électrique.
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adaptée à votre profil de conducteur.




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