L'actualité

Peut-on être sanctionné si son pare-brise est mal dégivré ?
Vous ne le savez peut-être pas mais le fait de circuler avec un pare-brise mal dégivré peut se solder par la remise d’une amende, ainsi que d’une perte de points.
Prendre la route avec un pare-brise mal dégivré est sanctionné par les forces de l’ordre
Pour pouvoir circuler sur le réseau routier français en toute sécurité, les usagers de la route doivent obligatoirement bénéficier d’une bonne visibilité, ce qui n’est pas le cas lorsque le pare-brise est mal dégivré.
En effet, il n’est pas impossible que suite à un mauvais dégivrage, la visibilité du pare-brise puisse ne pas être suffisante pour permettre une conduite parfaitement sécuritaire, ce qui peut se solder par un risque de provoquer un accident de la route plus important.
Des sanctions importantes en cas de pare-brise mal dégivré
Les agents des forces qui contrôlent un usager de la route dont le pare-brise ne serait pas correctement dégivré lui remettent une contravention comprenant un retrait de trois points sur le permis de conduire ainsi qu’une amende de 90 euros.
Pour éviter d’être sanctionnés par la police ou par les gendarmes à cause du givre présent sur leur pare-brise, les usagers de la route devront soit protéger leur voiture la nuit en la faisant dormir dans un espace couvert, en protégeant le pare-brise la nuit avec une bâche spécialement conçue pour lutter contre le givre, ou bien encore en raclant le pare-brise avec un grattoir spécialement conçu pour cette finalité.

Un péage positif sera testé à Lille en 2023
La métropole lilloise fera l’objet, en 2023, d’un test relatif à un éco bonus, ou péage positif, qui permettra de rémunérer les automobilistes qui ne prennent pas leur véhicule aux heures de pointe.
Un éco bonus, ou péage positif, bientôt en test à Lille
À partir de l’année 2023 sera testé un péage positif à Lille, dont la finalité sera de récompenser les automobilistes qui font le choix de ne pas emprunter leur voiture au moment des pics d’affluence de véhicules sur la route.
Si, pour ce premier test, l’objectif n'est que de réduire de 750 voitures le nombre de véhicules sur les axes très fréquentés le matin et le soir. La métropole lilloise prévoit de verser une prime de deux euros par trajet évité en voiture, jusqu’à 4 euros par jour et avec un plafond maximum atteignant 80 euros par mois, pour les usagers qui n'emprunteront pas les axes A1 et A23.
Mais tous ne sont pas convaincus par cette initiative, notamment à cause du manque d’alternatives dans certaines zones permettant aux conducteurs de laisser leur voiture au garage pour choisir un autre mode de déplacement, et donc bénéficier de cet éco bonus.
Une première pour une ville française
Si ce test sera le premier réalisé en France, il ne s’agit pas de la première initiative de ce type en Europe, puisque la ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a d’ores-et-déjà mis en place cette politique positive d’incitation, différente des contraventions et des sanctions généralement mises en place. L’objectif de ces politiques tient avant tout à éviter que les automobilistes ne surchargent les voies rapides et les périphériques urbains aux heures de forte affluence.

Hyundai teste des robots autonomes pour finaliser les livraisons
Le dernier kilomètre est une thématique bien connue des livreurs, qui éprouvent parfois des difficultés à finaliser leurs livraisons. Pour aider les livreurs, le constructeur automobile Hyundai a développé des robots autonomes capables de livrer les colis par eux-mêmes.
Un robot de livraison autonome par Hyundai
Présentée durant le CES 2022 de Las Vegas, la plateforme modulaire Plug & Drive du constructeur automobile sud-coréen, qui doit permettre de développer à terme des voitures autonomes, connaît ses toutes premières mises en application sous la forme de robots déployés dans un hôtel ainsi que dans un complexe résidentiel.
En utilisant les technologies dédiées à la conduite autonome, ces robots développés par Hyundai sont capables de livrer rapidement leurs colis, tout en évitant efficacement les obstacles.
De même, les robots déployés dans l’hôtel Rolling Hills assurent le service à la chambre entre 20h et 22h, les clients n’ayant qu’à passer par l’application Kakao Talk afin de passer commande.
Des robots pour améliorer les fonctionnalités autonomes chez Hyundai
Si Hyundai a développé des robots capables de réaliser des missions de livraison en parfaite autonomie, c’est avant tout pour faire progresser les services, la sécurité ou encore l’accessibilité à la mobilité des clients de Hyundai dans le cadre de la mise en application de la conduite autonome.

Des boucliers pour protéger les pots catalytiques des Prius
De plus en plus de véhicules motorisés fonctionnant au diesel font l’objet de vols de pots catalytiques, comme les Toyota Prius. Certains équipementiers ont donc mis au point des boucliers destinés à protéger les pots catalytiques de ces véhicules.
Des dispositifs de protection pour les pots catalytiques des Prius
L’une des spécificités des anciennes Toyota Prius hybrides tient du fait qu’elles continuent de faire partie des véhicules non seulement les plus souvent volés, mais faisant également partie des véhicules faisant l’objet de dégradations fréquentes. Et l’objet principal de ces dégradations est le plus souvent le pot catalytique des Toyota Prius, qui est souvent volé afin d’en revendre les matériaux.
Pour protéger les pots catalytiques de ces véhicules, certains équipementiers ont mis au point des dispositifs destinés à protéger les pots catalytiques, pour des montants allant de 180 euros à 250 euros.
Un dispositif moins coûteux qu’un changement de pot catalytique
Si le prix de cet équipement de protection peut sembler important, il faut néanmoins prendre en compte le fait que le remplacement d’un pot catalytique pour une Prius revient à 1 500 euros sans le coût de la main d'œuvre. En effet, ces éléments du circuit d’échappement qui sont nécessaires au bon fonctionnement des véhicules diesels contiennent un certain nombre de métaux rares, comme du Palladium, du Platine ou bien encore du Rhodium, qui ont vu leur prix augmenter suffisamment pour rendre les vols de pots catalytiques extrêmement lucratifs.

Des radars détectant plusieurs infractions en service en 2023
Un nouveau type de radar capable de détecter plusieurs infractions simultanément entrera en service dans le courant de l’année 2023. Certains de ces radars ont déjà été mis en service lors de tests réalisés à Toulouse.
Un nouveau modèle de radars capable de flasher des infractions multiples
Dans le courant de l’année 2023, de nouveaux modèles de radars routiers seront installés le long du réseau routier français. La spécificité principale de ces tout nouveaux radars est liée au fait qu’ils sont capables de détecter et de relever plusieurs infractions au code de la route, alors que celles-ci sont réalisées simultanément.
Ainsi, ces radars sont capables de vérifier si les usagers de la route respectent les sas cyclistes ou les pistes cyclables, mais aussi s’ils ont bien attaché leur ceinture de sécurité ou s’ils utilisent leur téléphone portable alors qu’ils sont au volant de leur voiture. Grâce à ces nouveaux radars, la France devrait compter au total pas moins de 4 300 radars routiers à la fin de l’année 2023.
Des radars déjà en test dans l’agglomération Toulousaine
Si l’arrivée de ces nouveaux radars sur l’ensemble du territoire français est une nouveauté, une trentaine de ces radars routiers étaient en vérité déjà installés à Toulouse ainsi que dans les espaces urbains proches. Ces nouveaux radars étaient d’ores-et-déjà capables de relever les excès de vitesse réalisés dans les deux sens de circulation, ou bien encore le non-respect des lignes d’arrêt au niveau des feux rouges.

General Motors : des accidents de voitures autonomes inquiètent
Une enquête est en cours en Amérique afin de vérifier les véhicules autonomes Cruise, développés par Generals Motors, suite à des problèmes récurrents constatés aux États-Unis.
Des voitures autonomes qui s’arrêtent brusquement et sans raison
La NHTSA, l’agence de la sécurité routière des États-Unis d’Amérique enquête sur les véhicules autonomes nommés Cruise, développés par la marque américaine General Motors. En effet, de nombreux usagers de la route ont indiqué que ces véhicules ont freiné brusquement ou se sont arrêtés sans raison alors qu'une autre voiture s’approchait rapidement de ces véhicules autonomes par l’arrière.
Une réponse automatique du véhicule autonome face au risque d’accident
D’après les différents signalements reçus par la NHTSA, les arrêts impromptus des véhicules Cruise sont une réponse apportée par le véhicule autonome suite à l’approche rapide d’un véhicule vers l’arrière de la voiture autonome.
Dans les trois cas reportés à la NHTSA, le véhicule autonome avançait sous la surveillance d’un automobiliste, et la réponse automatique apportée par le véhicule autonome a été telle face à l’avancée d’une voiture venant rapidement par l’arrière que les trois voitures autonomes ont été percutées.
Un rappel de voitures Cruise aux États-Unis
Pour éviter que des accidents de la route impliquant des voitures Cruise autonomes ne se multiplient, le constructeur automobile américain avait rappelé, dans le courant du mois de septembre dernier, 80 de ses véhicules, afin que ceux-ci apportent automatiquement une réponse différente en cas de risque d’accident de la route, de manière à les éviter au maximum, après que deux conducteurs aient été blessés suite à une collision entre une Cruise autonome et un autre véhicule.

La remise carburant a laissé la place à une aide de 100 euros
Depuis le 1er janvier 2023, la remise de 10 centimes par litre de carburant a été remplacée par une aide de cent euros que les ménages les plus modestes devront demander.
La fin de la ristourne sur les carburants
Le soir du 31 décembre 2022 a pris fin la remise sur les carburants, qui avait été mise en place à partir du mois d’avril 2022 afin de faire face à la hausse des coûts des carburants. Passant de 18 centimes par litre à l’origine à 30 euros en septembre, puis 10 centimes à la mi-novembre avant de disparaître définitivement au 1er janvier 2023.
Comme lors du passage du montant de l’aide de 30 centimes à 10 centimes par litre de carburant acheté, le prix des différents carburants a connu une légère hausse de tarif après la disparition de cette ristourne.
Une nouvelle aide destinée seulement aux ménages les plus modestes
L’ancienne ristourne appliquée à la pompe et qui était destinée à tous les usagers de la route va finalement laisser la place, à la mi-janvier 2023, à une nouvelle aide qui avait été annoncée par la première ministre Elisabeth Borne le 7 décembre 2022. Cette nouvelle aide, qui se présente sous la forme d’un chèque énergie d’un montant de 100 euros, ne sera versée qu’aux ménages les plus modestes.
Pour recevoir ce nouveau chèque, les usagers de la route dont le revenu fiscal est inférieur ou égal à 14 700 euros annuels devront se rendre sur le site des impôts entre le 16 janvier et le 28 février 2023 puis indiquer leur numéro fiscal ainsi que le numéro d’immatriculation de la voiture qu’ils utilisent pour se rendre sur leur lieu de travail. Les conducteurs recevront alors ces 100 euros directement sur leur compte bancaire.

Battra-t-on un record d’amendes en 2023 ?
Le nombre de radars déployés en France devrait atteindre les 4 600 dispositifs actifs en 2023, ce qui pourrait permettre de battre un record du nombre de contraventions dressées, ce qui pourrait également permettre d’augmenter le volume d’amendes dressées durant l’ensemble de l’année 2023.
2023 : future année de tous les records pour les radars ?
L’année 2023 sera d’une importance certaine pour les radars routiers, puisqu’un total de 4 600 radars seront actifs sur le réseau routier français, en plus de 1 000 cabines leurres, après que de nouveaux dispositifs aient été installés et que certains radars anciens aient été remplacés. De plus, à partir de 2023, les collectivités locales pourront installer leurs propres dispositifs radars, ce qui continuera à faire augmenter leur nombre.
Or qui dit multiplication du nombre de radars sur le réseau routier dit également augmentation du nombre d’infractions relevées, et donc d’amendes que devront régler des usagers de la route. En 2021, ce ne sont pas moins de 40 millions d’amendes qui ont été émises en France, pour des recettes atteignant en moyenne 500 millions d’euros.
Des résultats sur la mortalité routière très insatisfaisants
Si le nombre de radars n’a fait qu’augmenter au fil des années, la mortalité routière ne diminue plus, alors qu’il s’agit de la mission première des radars, qui s’inscrivent dans une vision répressive de la sécurité routière adoptée par l’État.
Cette vision a d’ailleurs été critiquée par la Cour des comptes, qui estime qu’il vaudrait mieux anticiper les manquements réalisés par les automobilistes afin de réduire les conséquences des accidents de la route grâce à des infrastructures plus sécuritaires.

Un usager voit son permis être annulé à cause d’un homonyme
Un automobiliste ardéchois a découvert que son permis de conduire avait été annulé à cause d’infractions causées suite à de nombreuses infractions commises par un autre automobiliste qui porte le même nom que lui.
Une erreur administrative cause un retrait de permis de conduire
Alors qu’il s’était fait flasher en août 2022, un conducteur venant d’Alissas, en Ardèche, a voulu vérifier le nombre de points restants sur son permis de conduire, qui était tombé à zéro.
Après avoir contacté la préfecture, l’automobiliste a appris que son permis de conduire avait été annulé durant les mois de juin 2022. Il s’avère que le conducteur avait un homonyme et que la proximité de la date de naissance des deux personnes avait entraîné un imbroglio administratif. Ainsi, si l’autre conducteur recevait les amendes, c’était bien l’automobiliste ardéchois qui voyait son nombre de points diminuer sur son permis de conduire.
De longs mois pour faire éclater la vérité
Après avoir constaté ces irrégularités, le conducteur a contacté l’administration afin de récupérer les points. Après avoir renvoyé le conducteur d’un service à un autre, l’administration française a reconnu son erreur et a rendu 11 points sur le permis du conducteur ardéchois.
Cette reconnaissance d’une erreur par l’administration a été rendue possible grâce au fait que l’homonyme vivait en banlieue parisienne, là où la plupart des infractions ont été commises.

Le permis dématérialisé va-t-il s’imposer en France ?
Avoir son permis de conduire toujours dans sa poche n’est pas forcément simple pour les automobilistes, à qui il peut arriver d’oublier son permis avant de prendre la route. Mais l’avancée des technologies fait que de plus en plus de conducteurs auront leur permis de conduire en permanence avec eux grâce au développement des permis de conduire dématérialisés.
Avoir son permis de conduire en permanence sur son smartphone
Google vient d’annoncer qu’il travaillait sur la possibilité pour les propriétaires américains d’un smartphone fonctionnant sous l’OS Android de numériser leur permis de conduire dans l’application Google Wallet afin de pouvoir le présenter facilement et rapidement en cas de contrôle.
Cette fonctionnalité était tout particulièrement attendue puisqu’une application équivalente a été déployée en 2021 sur les smartphones d’Apple dans certains États américains.
Les permis dématérialisés ne devraient pas être déployés en France avant longtemps
Si les premiers déploiements de permis de conduire dématérialisés ont lieu en Amérique, il n’est pas certain que cette alternative technologique au permis de conduire sécurisé ne fasse son apparition dans l’hexagone avant un certain temps, puisqu’aucune prévision de déploiement de cette fonctionnalité des smartphones Android pour l’Europe n’a été annoncée par Google.
Mais même si cette fonctionnalité finissait par être déployée en Europe, il n’est pas certain que les usagers de la route français puissent se servir de ce document matérialisé. Car même si certains États européens, comme l'Espagne, ont déjà déployé des solutions permettant de stocker officiellement les documents au format numérique, la France planche de son côté sur une numérisation de la carte d’identité et le passage du permis de conduire au numérique ne semble pas être à l’ordre du jour.

Les bâches de pare-brise pour protéger sa voiture contre le froid
Les usagers de la route qui laissent leur véhicule stationné à l’extérieur en hiver le soir ont généralement la désagréable surprise de retrouver les vitres de leur voiture recouvertes de glace le lendemain matin. Pour éviter ces désagréments, des équipements existent, comme les couvertures de pare-brise.
La couverture pour pare-brise, l’équipement essentiel pour protéger sa voiture en hiver
Qui dit hiver dit souvent pare-brise à gratter le matin avant d’emprunter sa voiture. Or tous les automobilistes n’ont pas forcément ni le temps ni l’envie de gratter la glace présente sur leur pare-brise avant de prendre la route le matin.
Les conducteurs qui souhaitent gagner du temps le matin peuvent donc se fournir un équipement particulièrement utile : une couverture de pare-brise. Aussi nommés “bâche anti-givre” ou “protège pare-brise”, ces dispositifs sont des protections qui doivent être apposées sur le pare-brise depuis l’extérieur de la voiture lorsque le véhicule dort dehors. Une fois installées, les couvertures pour pare-brise permettent d’éviter le contact direct entre le pare-brise et l'air extérieur, ce qui empêche que l’humidité présente sur le pare-brise ne se transforme en glace.
Un équipement qui est aussi utile en été qu’en hiver
Si les couvertures de pare-brise sont particulièrement utiles en hiver afin d’éviter que le pare-brise des voitures qui en sont équipées ne se recouvrent de glace, elles sont également extrêmement utiles durant l’été. En effet, les couvertures de pare-brise filtrent les UV, ce qui permet de garder l’intérieur du véhicule plus frais qu’en l’absence de cet équipement.

Les changements prévus sur les routes pour le 1er janvier 2023
Comme chaque année, les automobilistes seront confrontés, à partir du 1er janvier 2023, à un certain nombre de changements sur les routes. C’est donc l’occasion pour Ornikar de faire le point sur les nouveautés que rencontreront les usagers de la route dans deux semaines.
Le crédit pour l’installation d’une borne de recharge électrique à domicile rallongé
Alors que l’aide financière à l’installation d’une borne de recharge électrique au domicile des propriétaires de voitures électriques devait prendre fin le 31 décembre 2023, celui-ci sera finalement prolongé jusqu’en 2025. Cette aide est plafonnée à 300 euros, ou 75% du montant de la borne de recharge.
Une nouvelle prime pour valoriser le covoiturage
À partir du 1er janvier 2023, les automobilistes qui décident de se mettre au covoiturage pourront bénéficier d’une prime de 100 euros en justifiant de 10 trajets de covoiturage réalisé sur une faible distance, à savoir moins de 80 km.
Une baisse de 1000 euros du bonus écologique
Le bonus écologique va connaître un certain nombre de changements en 2023. Le montant du bonus écologique va passer de 6000 euros à 5000 euros pour les voitures électriques neuves coûtant moins de 47 000 euros, et de 2000 euros à 1000 euros pour les voitures coûtant de 47 000 euros à 60 000 euros. De plus, les voitures hybrides rechargeables ne seront plus éligibles à cette aide.
Par contre, les ménages les plus modestes bénéficieront d’un bonus pouvant atteindre jusqu’à 7 000 euros.
Plus de ZFE et de restrictions associées au 1er janvier
Alors que la France compte actuellement 11 zones à faibles émissions-mobilité (ZFE), leur nombre va augmenter en 2023, avec pour objectif de passer à un total de 43 ZFE en France en 2024. Il n’y a pas que le nombre de ZFE qui va évoluer, puisqu’un certain nombre de ces zones vont également devenir plus restrictives, en voyant le niveau crit’air des véhicules interdits de circulation dans certaines ZFE baisser.
Une augmentation du prix des péages
Enfin, les usagers de la route verront également le montant des péages des autoroutes augmenter à partir du mois de février 2023. Les gestionnaires des autoroutes doivent, eux aussi, répercuter sur leurs tarifs les augmentations liées à l’inflation. Les conducteurs verront donc une augmentation de 4,75% en moyenne des tarifs aux péages, avec des pics pouvant atteindre 8%.